En octobre 1941, le château d'Escoire, en Dordogne, a été le théâtre d'un triple crime. Henri Girard, futur auteur du best seller "Le salaire de la peur" sous le pseudonyme de Georges Arnaud est l'unique survivant. Accusé de ces meurtres, il est innocenté.
Aujourd'hui si le mystère plane toujours autour de cette terrible affaire, les auteurs de ce nouveau livre traitant du sujet, Marc Balland et Michel Loiseau proposent des hypothèses loufoques et farfelues avec humour (noir).
A la question que l'on peut poser qui est : peut-on rire d'un triple crime ?, les auteurs n'hésitent pas à répondre par l'affirmative au long des 72 pages et des 12 hypothèses.
72 pages - 12 hypothèses
La dernière serpe
Cette année, le dimanche 25 mai, l'association HA! HA! HA! Éditions organise son huitième salon dont le thème sera "tout ce qui roule" en présence de quinze autrices et auteurs et illustratrices et illustrateurs.
En plus d'une exposition de véhicules anciens, les visiteurs pourront découvrir les collections de miniatures et de l'association philatélique du Lardin-saint-Lazare qui présentera des timbres sur le sujet du salon.
Cliquez sur l'illustration pour télécharger le premier numéro.
Le dimanche 3 novembre se tiendra le Salon du Livre Régional à la salle des fêtes du Lardin-Saint-Lazare. Une quarantaine d'autrices et auteurs seront présents et Brian Bouillon-Baker sera l'invité d'honneur de cet événement.
L'entrée du salon est libre et gratuite !
Avis à la population !
Le salon du Livre illustré (ou pas) septième édition se tiendra le dimanche 26 mai et vous permettra de rencontrer une bonne trentaine d'autrices et auteurs épatantes et épatants.
Monsieur Soupolé est une personne normale, le parfait quidam. Sa vie pourrait être celle à laquelle aspire tout un chacun. Une vie simple et calme, une vie qui ne connaîtrait ni l’excès ni l’inattendu, pas plus la surprise que l’imprévu. Une vie réglée comme du papier à musique, écrite et attendue, sereine et mesurée.
Pour son plus grand malheur, Monsieur Soupolé réside dans un petit appartement douillet doté de tout le confort attendu par une personne honnête. Il pourrait vivre là la vie dont il rêve mais ce petit appartement a le tort d’être équipé d’une porte palière ouvrant sur l’extérieur, sur le vaste monde. C’est là la source de tous ses soucis.
Derrière cette porte, qui sait qui peut venir le sortir de sa tranquille et inébranlable quiétude, de son impavide flegme, de son goût furieux et forcené pour la placidité la plus extrême ?
La porte est close, à double tour, et Monsieur Soupolé vaque à ses habituelles tâches quotidiennes quand quelqu’un toque ou sonne. Bonhomme, avec la peur au ventre, Monsieur Soupolé risque un œil tremblant dans l’œilleton du judas optique. Il s’en doutait, il y a quelqu’un… ou pas. Il sait qu’il ne devrait pas, que cette visite va perturber sa vie. Pourtant, il ouvre.
Les étranges rencontres de M. Soupolé sur la boutique
Marc Balland, Patrick François et Michel Loiseau repartent à l'assaut de leur quête de l'absurde absolu avec un ouvrage qui marche dans les pas du Palmier mais en faisant un pas de côté. Cette fois-ci, pour compliquer encore un peu la découverte de ce monument de la littérature humoristique, les auteurs vous invitent à un jeu de piste contre la montre.
Pourquoi faire simple lorsque l'on peut faire compliqué ? A l'initiative du Sablier, il y a une idée née dans la tête (ou ailleurs, on ne sait pas) de Marc Balland de remettre au goût du jour le livre d'heures, livre liturgique destiné aux fidèles catholiques laïcs.
Mais attention ! Ici, point n'est question de bondieuseries ! D'ailleurs, du livre d'heures, seules ont été conservées les heures. Et comme l'heure, c'est le temps et que le temps qui passe peut se comptabiliser, les auteurs ont hésité entre "pendule", "montre", "clepsydre" avant de se décider pour "sablier" étant entendu qu'il allait être l'heure de passer à table et que des œufs à la coque étaient au menu.
Dans ce Sablier, vous trouverez des textes humoristiques, des nouvelles policières délirantes, des contrepéteries fascinantes, de la fiction politique et de la science fantaisiste, de la critique d'art et de l'art critique, des illustrations épatantes et des idées du même tonneau. Et comme il est dit en couverture : "si à 50 ans on n'a pas de Sablier, c'est qu'on a quand même raté sa vie".
Le Sablier est d'ores et déjà disponible pour le prix très modique de 12 euros sur la boutique en ligne, à la boutique ouverte au 40 bis de l'avenue de la IVe République à Thenon et dans plusieurs librairies de Dordogne où vous pouvez aussi le commander s'il n'est pas disponible.
le Sablier sur la boutique