Courrier de lecteur - Gérard Devis
Gérard Devis, gentil lecteur de la Serpette, nous adresse un courrier que nous nous empressons de reproduire.
Cher Monsieur,
Tout d'abord, je vous adresse un grand merci pour m'avoir communiqué votre adresse Email, ce qui me permet de vous envoyer ce message personnel.
Je viens de lire, avec beaucoup d’intérêt et un très grand plaisir, votre livre « La Serpette » que ma fille Natacha m’a offert, avec quelques autres douceurs périgourdines, il y a quelques semaines pour mon anniversaire, et que vous aviez fort aimablement dédicacé.
Cette serpette est un vrai petit bijou qui, à l’évidence, n’a pas été écrit par des manches. Partant de René Andertal (cousin bien connu de l’homme de Camembertal) jusqu’au drame survenu dans le château d’Escoire durant la nuit du 24 au 25 octobre 1941, en passant par Monseigneur Dezanno et le Prince Senryre, votre livre confirme bien que si l’espoir fait vivre, Escoire fait parfois mourir.
Outre le texte plein d’humour et votre agréable dédicace, j’ai beaucoup apprécié qu’après la traditionnelle et légendaire page 44 qu’on retrouve inévitablement dans toutes les grandes œuvres littéraires, vous ayez pris le soin de terminer la pagination de votre histoire de la serpette d’Escoire à travers les âges, par une page 45 ; j’y vois, bien évidemment, une façon particulièrement élégante et discrète de rendre hommage à ceux qui ont fêté leurs 73 ans en 2018 !
J’espère avoir bientôt le plaisir de lire de nouvelles aventures qu’en totale complicité avec Marc BALLAND et Michel LOISEAU, vous aurez écrites avec vos belles plumes. Celles-ci sont, à l’évidence, des outils largement aussi efficaces que la serpette puisque, en vous lisant, on peut mourir de rire... et, personnellement, je préfère de beaucoup l’encre bleue qui s’écoule de vos plumes et fait marrer (ne pas confondre avec l’ancre marine) au sang qui coule sous le tranchant des serpes et qui, lui, fait pleurer !
Bien cordialement,
Gérard DEVIS (alias Papy Seu Seu)