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HaHaHa Editions - Sud-Ouest

Jeux de mots et contrepets à foison

Patrick François dans Sud-Ouest
Jeux de mots et contrepets en Périgord

Patrick François a les honneurs du journal Sud-Ouest dans lequel, sous la plume de Bernard Couzinoux, valeureux correspondant local, il présente son dernier ouvrage riche en jeux de mots et contrepets. Gloire lui soit rendu !

On parle de nous dans Sud-Ouest

Palmier SO 22 04 17Ce samedi 22 avril 2017 est un jour à marquer d'une pierre blanche puisque Hervé Chassain a parlé de notre maison d'édition dans le journal Sud-Ouest.

Au long de son article, le journaliste tient à montrer qu'il a bel et bien lu le Palmier et nous ne pouvons que le féliciter et lui adresser nos compliments enflammés autant que sincères. Lire le Palmier dans son entier n'est certes pas une tâche impossible, plusieurs sont ceux qui y sont parvenus, mais force est de reconnaître que ce n'est pas pour autant chose aisée. Parmi les pré-requis, bien sûr, il convient de savoir lire et, de préférence, la langue française. Savoir lire l'avenir dans la langue de bœuf sauce piquante ne vous aidera en rien dans la découverte du Palmier. Savoir lire, c'est bien, savoir rire, c'est mieux. Et Hervé Chassain (gloire lui soit rendue) l'a bien compris. Il est nécessaire d'avoir un solide sens de l'humour pour déguster le Palmier. D'ailleurs, il ne s'y trompe pas et prévient dès le titre de l'article : " Un livre rien que pour rire ". En effet, il fait bien de le préciser. Certains et certaines auraient pu acheter le Palmier (douze petits euros) pour rire et pour pleurer et alors ils en auraient été pour leurs frais, au moins pour la moitié. Nous avons réalisé une petite enquête auprès des personnes ayant lu le Palmier ou ayant œuvré à sa conception et peu nombreuses sont les personnes qui reconnaissent avoir pleuré — sinon de rire — à cause du Palmier.

Hervé Chassain explique très clairement quoique d'une manière légèrement absconse, obscure, peu précise et très approximative que le Palmier est un livre qui tient chaud. Dans son style si journalistique, il glisse en effet que le Palmier ne vaut rien pour ceux qui naviguent aux environs proches du premier degré. C'est une réalité prouvée scientifiquement que le Palmier génère une substantielle hausse des températures et, d'ailleurs, le GIEC se penche sur la question avec d'autant plus d'intérêt que, mine de rien, ces gens là aiment aussi rire un peu de temps en temps.

Le fantastique journaliste du non moins fabuleux journal précise que le Palmier est un bréviaire de la "poilade" à l'ancienne. Et quoi de meilleur que la moutarde "à l'ancienne" ? C'est la garantie de la préservation d'une tradition et une reconnaissance implicite de ce que les auteurs du Palmier s'inscrivent dans un courant de pensée engendré il y a plusieurs millénaires par les premiers pré-humains à l'origine du premier éclat de rire.


 

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